Le gouvernement devrait avoir conscience que non seulement les Faucheurs Volontaires sont des délinquants violents mais que rien n’arrêtera leur surenchère. C’est ce que montre le saccage d’un champ de tournesol qui s’est produit du 31 juillet au 1er août dernier à Tour-Sur-Orb (34). Le mode d’action est le même : une opération de nuit et masquée. Leur revendication est toujours la même : dénoncer les OGM qui seraient cachés en demandant rien de moins que « les municipalités arrêtent de fermer les yeux (…) et fassent détruire ces champs » ! Rien de moins ! La question de la mutagénèse, et celles des Variétés Tolérantes au herbicides n’est qu’un prétexte pour ces militants environnementalistes. Ils cherchent à imposer par la force leur vision de la société : la décroissance. Ces militants ne connaissent rien aux pratiques agronomiques étant pour l’immense majorité d’entre eux étrangers au monde agricole. Ils cherchent une victoire en obtenant un moratoire contre les cultures issues de la mutagénèse. Une fois ce moratoire obtenu, ils passeront à un nouveau combat contre l’agriculture.
la guerre contre les faucheur va prendre de l’ampleur! L’INRA pour fêter les 20 ans de son service environnement et agriculture n’a rien trouvé de mieux que d’avoir comme invité d’honneur (et le seul) José Bové!!!!!!!
Plus minable en communication tu meurs!!!
On savait que l’INRA ne travaillait plus pour, mais contre le monde agricole français grâce a des dirigeant comme Mr Huyghue sois disant directeur de recherche national de l’INRA alors que se monsieur affiche sans vergogne ses conviction idéologique a l’opposé de ce que devrait faire tout scientifique sérieux qui se respecte.
L’INRA en invitant un faucheur qui revendique toujours le bien fait de ses actions passés, montre enfin clairement son vrai visage.Un énnemi du monde agricole français!
Honte a l’INRA et au détournement des fonds public a des fin idéologique.
entre « macaron » qui donne raison aux caillera de NDL voila maintenant les faucheurs mis a l’honneur par un organisme financé par nos impôts et qui sois disant représente un fleuron de la recherche agronomique en FRANCE!!!!
Et on s’étonne que les « bon » chercheurs partent travailler a l’étranger!!!!